L'intervention et le débat

• 1. Les « Bororos » du monde du travail : les agents de conduite des centrales nucléaires - 02'14"
• 2. Intelligence, ingéniosité, transgression des consignes, prise de risque : ce que travailler veut dire - 03'58"
• 3. Sans investissement subjectif des travailleurs, plus rien ne fonctionne : avions, trains, soins… - 04'14"
• 4. La reconnaissance : « à quoi ça sert que je saute s’il n’y a personne qui me regarde ! » - 05'39"
• 5. « Ici, on ne nous reconnaît pas ! » : les ravages causés par l’absence de reconnaissance - 02'31"
• 6. La question pour celui qui travaille : savoir s’il se reconnaît dans ce qu’il fait - 03'30"
• 7. Le travail doit être connu pour être reconnu - 03'11"
• 8. La plainte énigmatique des agents de conduite des centrales nucléaires - 02'53"
• 9. La clé de l'énigme ? Un déficit de reconnaissance de la contribution de ceux qui travaillent - 03'13"
• 10. Est-ce que ces gens-là « travaillent » ? « Ils glandent le jour... alors je vous dis pas la nuit ! » - 06'23"
• 11. La contribution invisible des agents : la peur, l’anxiété, l’angoisse - 07'42"
• 12. La seconde énigme : alors pourquoi ils bossent, pourquoi ils bossent bien ? - 04'16"
• 13. La contribution des agents de conduite : don et contre-don - 04'26"
• 14. Pourquoi ils râlent et pourquoi ils travaillent ? La centrale nucléaire (ou l’hôpital…) intériorisée - 05'26"
• 15. Le contre-don, la faute, la dette, le feu nucléaire… - 07'57"
• 16. EDF : une sociologie particulière des agents de conduite des centrales nucléaires - 06'39"
• 17. « On ne parle pas de corde dans la maison d’un pendu » : la difficulté de la hiérarchie à se saisir du travail réel - 05'54"
• 18. Le don, contre-don, en permanence entre nous dans les milieux de travail - 03'59"