Vient de paraître le compte rendu de l'Ecole de Paris du management issu de son séminaire "Transformations numériques" organisé avec Richard Berro, chargé de valoriser les nouveaux modes de travail au sein du groupe EDF.
Alors que les états-majors s’activent pour trouver le bon plan de transformation afin d’adapter l’entreprise à l’ère digitale‚ d’autres acteurs cherchent simultanément à fédérer les énergies et les bonnes volontés au plus près du terrain‚ avec la conviction que les deux démarches se rencontreront.
En partant du credo que « le digital‚ c’est l’humain avant les outils »‚ en rassemblant ceux qui veulent innover avec d’autres manières de travailler‚ d’autres outils et techniques‚ en convainquant des décideurs de participer à un financement collaboratif de telles actions‚ Richard Berro a réussi‚ fin 2014‚ à faire naître et accepter une initiative bottom-up davantage en phase avec la culture digitale qu’avec la culture EDF historique. Il est maintenant chargé de valoriser ces nouveaux modes de travail au sein du Groupe.
Cette méthode douce ne constitue-t-elle pas une manière efficace de contribuer à la transformation de la culture digitale des grands groupes ?
Lire un extrait du compte-rendu
L'École de Paris du management, créée en 1993, est une institution unique en son genre, dans laquelle chercheurs et praticiens dialoguent selon des modalités assurant l'ouverture des débats et la qualité orale et écrite des travaux. Si ces échanges sont dégagés de préoccupations de court terme, cette démarche répond à un enjeu de long terme : faire évoluer les perceptions des acteurs, des chercheurs et de l'opinion publique en ce qui concerne la conduite des affaires privées et publiques.