Les chantiers de la professionnalisation chez AREVA (sept. 2007)
Un consensus, au moins dans les discours, a fini par se dessiner en France sur l’importance des tuteurs dans les entreprises.
L’actualité autour de l’allongement de la durée de vie au travail lui redonne du poids : tuteur et senior sont des mots qui vont apparemment très bien ensemble.
A voir. Si la question de la qualité des tuteurs est stratégique dans une entreprise, alors la question de leur professionnalité est centrale. Et l’âge ne peut être le principal critère : il existe de très bons tuteurs qui ont 10 ans de métier, surtout quand les métiers bougent vite. Et qui peuvent eux-mêmes changer de métier : passer de tuteur à formateur interne, par exemple.
Jean Cassingena nous introduit dans les pratiques de reconnaissance du tutorat dans une très grande entreprise : AREVA. Un lieu où la question de la professionnalisation et du tutorat est considérée comme stratégique.
Il nous présente ce qui fonde pour lui la reconnaissance des tuteurs, au-delà du statut et de la certification : l’importance reconnue d’une fonction au sein d’une communauté professionnelle. La reconnaissance vue comme une dynamique de réseau qu’il convient d’animer, plus que dans la vision classique et statique du « statut du tuteur ».
« Entretenir la communauté, la faire vivre, c’est une manière (pas la seule) d’entretenir la reconnaissance »
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