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Pour les entreprises, la certification peut tout aussi bien représenter une preuve, qu’une trace, un support de lisibilité de la qualification des personnes. Mais elle peut aussi renvoyer aux "certifications obligatoires", pour l'exercice d’une activité, dans le cadre de normes de production, de normes de qualité, de sécurité, etc. On parle aussi de la "certification des structures" dans le champ ISO.
Dans le contexte français la validation des acquis de l’expérience (VAE) est liée en principal à la qualification des personnes, et renvoie exclusivement à trois types de certifications : diplômes, titres à finalité professionnelle et CQP.
Sur le fond, la VAE, ne peut se penser qu’en référence aux univers plus larges des certifications portées par des groupes d'intérêts professionnels nationaux ou internationaux. Il faut en convenir, le message a du mal à passer auprès des acteurs, usagers et bénéficiaires de la VAE : les rôles et les attentes - notamment ceux des ministères valideurs - sont brouillés, les besoins des entreprises mal perçus et les bénéficiaires parfois frustrés dans une quête de diplômes et de reconnaissance qui ne rencontre pas toujours les intérêts du « marché ».
Une intervention riche et précise sur les termes, éclairante quant aux enjeux de la certification et sur les usages pour l’individu et pour l’entreprise de démarches de VAE bien comprises et surtout, bien orientées…
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Anne-Marie Charraud, rapporteur général adjoint de la CNCP, Commission nationale de la certification professionnelle.
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Crédits
Amphi débat du 20/04/2005
Date d'édition : 01/05/2005
Durée : 1:10:11
Programmation et animation :
Réalisation et édition :
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